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 Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END]


Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END] 900896Sanstitre2
Points : 33
Harrison C. Underwood
Harrison C. Underwood

Dim 24 Avr - 18:04


Harrison C. Underwood
nom : Underwood.
prénom : Harrison Colin.
surnom : Harry, mais il ne l’apprécie pas vraiment.
genre : Masculin.
âge : 35 ans.
activité/hobby : Les échecs et la course de fauteuil roulant principalement.
métier : Ancien chirurgien, il lui arrive de donner aujourd’hui quelques cours à des étudiants en médecine.
groupe : Phobos.
orientation : Hétérosexuel.
statut civil : Célibataire.

me, myself & I
POUVOIR : TIME ALTER ♦ Harrison pourrait être comparé à l’apprenti du temps, le gardien d’un pouvoir que beaucoup lui jalouseraient. S’il n’a pas eu l’opportunité d’en être le maître, il a au moins eu l’occasion de comprendre comment l’influencer, l’altérer. De manière plus concrète, il est capable de manipuler le temps de toute chose non-vivante sur la Terre, jouant avec sa temporalité pour en changer la forme, lui faire retrouver un état antérieur ou en précipiter sa vieillesse, voir complètement le figer dans un état précis. Vous ne comprenez toujours pas ? C’est pourtant bien simple…  Imaginez une tasse brisée en morceaux : en manipulant le temps de l’objet, Harrison aura la possibilité de lui faire retrouver son état antérieur, ce qui la réparera. A l’inverse, le trentenaire pourra contraindre les pierres d’un mur à vieillir plus vite et ce jusqu’à ce qu’elles s’effritent et s’écroulent. Enfin, il lui est possible de figer un objet dans un état temporel précis, pouvant ainsi empêcher une grenade d’exploser en bloquant son temps avant l’explosion. Dans des cas plus abstraits, Harrison a par exemple la possibilité de faire de réchauffer son café comme de le refroidir, voire de le faire s’évaporer ou geler. Une temporalité alternée pour une immensité de possibilités.

Pour autant, il reste énormément de secrets au sujet du temps qu’Harrison n’est pas en mesure de percer, à commencer par son flot ininterrompu : s’il est capable d’influencer la temporalité d’un objet, il n’est cependant pas en mesure d’altérer le temps en lui-même. Ainsi, il n’est absolument pas capable de revenir dans le temps ou d’aller dans le futur, autant qu’il n’influence que l’état temporel d’un objet : si quelqu’un lui tire dessus, il aura l’opportunité de faire vieillir la balle (de la faire rouiller par exemple), mais cette dernière ne déviera pas de sa trajectoire ni ne s’arrêtera dans les airs. De même, manipuler le temps ne signifie pas manipuler l’espace : pour en revenir à l’exemple de la tasse brisée, si cette dernière est tombée d’une table avant de se casser, Harrison pourra la réparer, mais la tasse ne reviendra pas à sa place originelle, à savoir sur ladite table. Enfin et au plus grand regret du manipulateur temporel, son pouvoir ne peut s’exercer sur un être vivant et par conséquent, il ne peut faire vieillir ou rajeunir quelqu’un, même si cela est son plus grand souhait.
CARACTÈRE : Le monde est comme un immense théâtre de rue, un spectacle gigantesque dans lequel chacun essaye de trouver sa place, de jouer le rôle qu’il aimerait avoir ou qu’on lui impose, s’adaptant avec plus ou moins de facilité à ce dernier, se montrant plus ou moins convainquant pour le spectateur qui saurait observer son jeu, chercherait à le percer à jour. Entre ceux qui veulent être et ceux qui le refusent, ceux qui prétendent et ceux qui supportent bien malgré eux, difficile de ne pas se perdre dans ce jeu des identités, de ne pas discerner quelle est notre place sur scène. Mais tu as toujours su quel rôle tu voulais jouer, n’est-ce pas ? Tu as toujours su quel masque tu souhaitais porter, derrière quel déguisement tu souhaitais te dissimuler pour observer les autres en silence, rire de leur hypocrisie dont tu te délectais. Tu as toujours été à l’aise en société, voyant en elle une marée que tu peux comprendre, que tu peux dompter. Charmeur naturel, tu avais un don pour envoûter la foule, la tromper pour mieux abuser d’elle, attendant la bonne personne au bon moment, prêt à frapper de ton sourire et de tes bonnes manières, distrayant ta cible de tes belles paroles pour la séduire et la captiver. C’est comme ça que tu as toujours eu ce que tu voulais, te démarquant du reste de la plèbe en te jouant des autres sans jamais faire la même erreur qu’eux : si nombreux étaient ceux assez naïfs pour se laisser avoir par tes talents d’acteur, tu n’as au contraire jamais perdu cette perspicacité qui t’as toujours permis d’être plus malin, de toujours avoir un ou plusieurs coups d’avance et de voir clair dans le jeu de ceux qui te faisaient face. Mais dominais-tu vraiment toutes les rencontres auxquelles tu as pu participer ou n’étais-ce que de douces illusions avec lesquelles tu t’es bercé ?

Avec le temps, tu ne peux nier avoir un peu trop pris tes aises. Devenu chirurgien autant habile à guérir les maux qu’à envoûter ton auditoire, l’efficacité de tes techniques n’avait d’égal que ton insolence, l’arrogance que tu manifestais au quotidien étant un peu ta marque de fabrique. Tu t’étais toujours senti un peu au-dessus des autres, inatteignable… Le soir lorsque tu rentrais chez toi tu te sentais invincible, comme si rien n’aurait jamais pu t’affecter, comme si tu étais le maître du monde. Tu te pensais incarnation de la ruse et de la fourberie mais tu n’étais en réalité que la triste image de l’insouciance d’un homme trop présomptueux et prêt à voir sa vie renversée. Peut-être que le surplus de confiance dont tu as fait preuve fut le premier signe de ta déchéance. Certes, tu n’avais pas complètement tort : tu disposais en effet d’une audace admirable et d’une intelligence profonde. Tes connaissances du monde alliées à ta réflexion et tes talents auraient pu te mener encore plus haut s’ils n’avaient pas été voilés par ton orgueil et ta suffisance. Tu as voulu aller trop vite, baissant ta garde quitte à risquer l’accident et pour toi, le choc a été de plein fouet !

Etrange n’est-ce pas, de voir comment ton œuvre a pu s’écrouler en une fraction de seconde ? La vie t’a donné une leçon, de celles que l’on n’oublie jamais, qui se gravent dans notre chair à l’encre écarlate et dans notre mémoire comme un cauchemar inoubliable. Tu as appris que tu ne pouvais pas toujours gagner et que si tu étais bien évidemment le principal protagoniste de ton histoire, tu n’étais qu’un second rôle dans celle des autres. Habile chirurgien, amant passionné et philanthrope respecté, il n’est que trop dommage de voir à quel point tu t’es perdu en chemin. Bien vite, ta vie bouleversée a pris un chemin bien plus sombre : troquant ton trône doré pour un fauteuil d’acier, la rage qui s’était emparé de toi a bien failli te consumer, te poussant dans tes derniers retranchements et manquant de broyer ton esprit.

Pourtant, tu ne t’es pas laissé abattre bien longtemps, certain que plus que subir l’horreur de la fatalité, il te fallait en annuler les conséquences. Peu à peu, ton arrogance est devenue cynisme, ta ruse s’est transformée en manipulation malsaine et ta fierté laissa place à une rancœur acerbe, une frustration perpétuelle qui te ronge de l’intérieur. Incapable de te projeter dans le futur, tu regrettais ce passé qui t’avais été arraché par la destinée, te perdant dans la contemplation nostalgique de l’homme que tu fus jadis. Persuadé de pouvoir faire machine arrière tu t’es mis à sourire faussement, à prétendre prendre la vie du bon côté alors que la modestie derrière laquelle tu te caches n’est qu’une figuration temporaire dans ce grand spectacle qu’est l’humanité. A la recherche d’un moyen d’inverser le cours du temps, tu te raccroches à tes souvenirs comme s’ils étaient la seule chose qui méritent ton intérêt, comme si tu savais qu’à partir d’aujourd’hui, rien ne serait plus beau que les réminiscences que tu as de ton passé.

… Et tu ne fais qu’avancer, chercher des réponses à des questions que tu ne connais même pas, chercher un moyen de réparer les erreurs du passé, à étouffer ce sentiment d’impuissance qui emplit ton cœur et ce, jusqu’au dénouement de ton histoire… Sans jamais t’arrêter…
HISTOIRE
Le temps s’écoule comme le flot incessant d’une rivière et l’être humain est tel une roche qu’il érode : voilà bien une chose qui te semble un peu plus avérée à chaque fois que tu fais face à ton miroir, fixant cette image de toi qui te semble à la fois familière et pourtant de plus en plus étrangère à mesure que les années passent et que tes traits se creusent. Changer était inévitable, la vie d’un homme étant consacrée à sa perpétuelle évolution. Mais aurais-tu un seul instant pensé que toutes ces années aboutiraient au résultat qui apparaissait aujourd’hui devant toi ? Certainement pas…

Aussi loin que remonte ta mémoire, tu as toujours pensé être destiné à de grandes choses. Tout petit déjà, tu te rappelles de ces longs moments à contempler les étoiles derrière la fenêtre de ta chambre, le regard luisant d’un optimisme déterminé, de celui que l’on voit chez les gens ambitieux. Trop mature pour ton âge, choyé par une famille adoptive pour laquelle tu n’avais qu’une affection relative, le sentiment d’importance qui était né en toi à cette époque allait être le moteur de ta réussite. Tu étais spécial et en était non seulement conscient mais également persuadé : le don que tu avais reçu à la naissance était certes une chose, mais l’homme que tu te destinais à être avait au moins autant de valeur à tes yeux. Chanceux parmi les chanceux, le foyer qui t’avais accueilli peu après ta naissance était tout à fait disposé à t’offrir ce dont tu avais besoin pour te démarquer : riche famille voyant ta présence comme un trésor qu’il fallait chérir, le moindre de tes désirs était satisfait sur le champ. Pourtant, loin de toi l’idée de profiter de cette attention toute particulière pour assouvir tous tes caprices, préférant largement mettre à profit les moyens familiaux pour servir les desseins du jeune adolescent que tu étais. Bénéficiant des meilleurs enseignements, disposant des professeurs particuliers les plus talentueux de la région, tu étais formé à être l’élite de ce monde et d’une certaine manière, tu adorais ça. Certes, il te fallut mettre de côté certains aspects de ta vie, à commencer par la sociabilité si chère aux autres enfants de ton âge, ceux qui jouaient au ballon dans la rue ou allaient au parc pour s’amuser tranquillement. Ton enfance fut solitaire mais au fond, cela n’a jamais été un problème à tes yeux. En y réfléchissant, c’est certainement à cause de cela que tu t’es toujours pensé au-dessus des autres, ne souhaitant pas te mêler au reste du monde comme tes petits camarades. Et si certains te voyaient associable, tu savais au fond de toi que tu préférais simplement ne pas dépendre des autres. Gamin esseulé aux ambitions démesurées, nombreux sont ceux qui auraient eu pitié de ta jeunesse et pourtant tu n’en garde que de bons souvenirs…

La fin de ton adolescence fut un tournant, celui qui marqua le début de ta véritable vie. Réussissant comme tu l’avais toujours espéré, le monde se mit à te sourire lorsque tu intégras l’école de médecine pour la plus grande fierté de tes parents. Doué et déterminé à briller dans tous les domaines, tes études ne furent qu’une formalité et tu n’en sorti que grandi : major de ta promotion et à présent chirurgien, rien ne semblait pouvoir t’arrêter. Les anciens détracteurs de ton asociabilité devinrent tes plus grands fans, tes collaborateurs se mirent à vanter tes mérites et il suffit de quelques mains habilement serrées et qu’une poignée d’opérations rondement menées pour que ton nom commence à retentir dans les hautes sphères de la ville. Médecin prometteur, tu avais l’impression d’avoir enfin atteint la première marche du podium et il n’y avait rien de plus agréable que cette impression d’accomplissement qui emplissait ton cœur. Certes, de la réussite naît parfois le sentiment de supériorité et il t’arrivait parfois de faire un excès de zèle, de te montrer un peu trop arrogant et suffisant : quand on était capable de plus grandes choses que le reste du monde, pourquoi prétendre que l’on ne vaut pas plus que lui, n’est-ce pas ? Rien ne semblait t’arrêter et lorsque tu rentrais chez toi, tu ressentais l’immense satisfaction d’être plus qu’un simple être humain, de valoir plus que les autres. C’est sans doute cela qui t’as définitivement perdu, cette prétention que tu avais de compter plus qu’autrui dans la grande balance de la vie. Quand tu y repenses, tu comprends un peu mieux le déséquilibre que tu as pu causer et les conséquences que cela a pu avoir par la suite.  

Une seule journée a suffi à détruire tout ton travail, tous tes efforts. Une opération banale que tu n’as pas su prendre au sérieux tout simplement parce que tu estimais qu’elle était indigne de tes compétences. Négligence, égo démesuré et mari trop instable pour accepter la mort de sa pauvre femme : voilà les ingrédients de ta déchéance. Tu as beau blâmer ton agresseur encore aujourd’hui, tu sais au fond de toi que tu es le seul fautif, l’unique responsable de ta propre perte. Une sortie tardive de l’hôpital, une voiture t’aveuglant de pleins phares et un choc d’une violence inouïe : la Mort te tendit les bras ce jour-là, prête à t’emporter avec elle dans l’autre monde… Mais tu es trop têtu pour mourir aussi facilement, pas vrai ? Une renaissance, une envie de vivre si forte qu’elle défia tous les pronostics : après des mois dans le coma, voilà que tes yeux s’ouvrent à nouveau, prouvant que tu veux survivre, vivre avec encore plus de force qu’auparavant ! Mais si ton esprit a réussi l’exploit de se ressaisir, ton corps lui n’est plus que l’ombre de lui-même… Les blessures ont été trop grandes, te laissant partiellement paralysé : piégé sur un fauteuil roulant avec les jambes définitivement immobiles, tu n’es plus en mesure de pratiquer. Des deux émeraudes qui te permettaient d’apprécier la vision de la vie il n’en reste plus qu’une et ton beau visage se retrouve recouvert d’un long bandage blanc. Borgne et handicapé, tu n’as plus rien de ta grandeur et ta fierté est sans doute restée sur la chaussée lors de ton accident…

Pour toi, les mois qui suivirent furent les plus durs de ton existence. Tu avais chuté du toit du monde pour atterrir dans les bas-fonds de l’humanité. Noyant ta rancœur et ton chagrin dans l’alcool, osant parfois te perdre dans la drogue, tu fus livré à toi-même pour surmonter le plus grand défi de ta vie, la faute à l’absence de véritable soutien humain dans ton entourage. Détestant l’univers entier pour ce qu’il t’avait fait, tu puisas cependant l’énergie de ta rage intérieure pour aller de l’avant ou plutôt, pour trouver un moyen de revenir en arrière : pourquoi ne pas te tourner vers ton don ? Durant toutes ces années, tu n’avais vu ton pouvoir que comme un gadget amusant qui ne faisait que parfaire l’homme fabuleux que tu étais. Mais maintenant que tout t’avais été enlevé, il était devenu ton unique obsession. Au fond de toi, tu te disais que les scientifiques qui t’avaient accordé cette bénédiction l’avaient fait pour une bonne raison et que c’était cette faculté dont tu bénéficiais qui assurerait ton salut. Pour la première fois depuis ta naissance, tu te tournais vers tes créateurs, ceux-là même qui n’avaient jusqu’à présent été rien d’autre que des êtres sans importance à tes yeux. Eux seuls pouvaient t’aider maintenant, pouvaient te garantir une guérison dont tu ne pouvais que trop rêver : et si avec leur aide, tu pouvais améliorer ton pouvoir au point de l’utiliser sur toi ? Doux fantasme qu’il te tarde encore aujourd’hui de transformer en réalité…

Alors peut-être qu’actuellement, le miroir que tu fixes ne t’offre que l’image d’un pauvre homme en fauteuil roulant, un œil dissimulé derrière un bandage blanc, au sourire triste et prêt à donner quelques cours à des étudiants qui n’arriveront jamais à sa cheville. Mais si tu regardes de plus près, tu peux encore voir la silhouette de celui que tu étais et intimement, tu sais que tu feras tout pour que ce dernier reprenne la place qui lui revient de droit… Quoi qu’il en coûte !

surnom : Djinn.
âge : 23 yo.
une anecdote sur toi ? : J’aime pas les pommes.
règlement : Naruto, mais pas les Shippuden !
avatar : Takasugi Shinzuke – Gintama.
commentaire : Banane flambée.


Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END] 994298Bart2
Points : 107
Bartolomeo Kalf
Bartolomeo Kalf

Dim 24 Avr - 18:18
Ce titre ! Bienvenue par ici o/
Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END] E7l6
Points : 111
P. Isaac Adams
P. Isaac Adams

Dim 24 Avr - 18:51
slt t bo Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END] 3129839794
Bienvenue !
Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END] Sans_t21
Points : 27
Joyce H. Pearl
Joyce H. Pearl

Dim 24 Avr - 22:27
Takasugiiii Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END] 3625940627

Pleins de luv luv for youuu!

Bienvenue parmi nous 8D !
Wish we could turn back time... ♦ Harrison [END] 1460250461-iconriley
Points : 113
Riley K. Sellars
Riley K. Sellars

Dim 24 Avr - 23:06
harrison c. underwood

Boon. Clairement, c'est la première présentation parfaite. J'ai rien à dire que veux-tu, haha. Et en plus tu viens chez les Phobos, que demande le peuple !

Ton personnage sort vraiment de l'ordinaidre, ça fait du bien et en plus c'est super bien écrit. Bref, j'aime j'aime j'aime. En espérant que tu te plaise ici ! ♥

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